LA VIE DE MAMAN CHRISTINE BAHATI

La vie de Madame Christine BAHATI MUNYANGI peut être résumée en un ensemble de témoi- gnages de reconnaissance au Créateur Suprême.

Elle fut l’incarnation de la sagesse divine selon la- quelle « la femme sage bâtit sa maison ».En effet, Maman BAHATI comme l’appelaient communé- ment ses proches, appliqua cette recommandation biblique non seulement dans son foyer mais aussi dans le développement de son pays, la République Démocratique du Congo (RDC) qu’elle a aimée et servie comme son propre foyer.

C’est la mémoire de cette expérience maternelle que sa fille aînée Liliane MARAT MASSALA décida d’incarner à tra- vers la création de cette fondation qui porte le nom de cette illustre disparue, avec comme objec- tif principale : « TOUJOURS PROMOUVOIR L’EPA- NOUISSEMENT  HARMONIEUX  DE  L’HOMME DANS LE RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT ET DE LA DIGNITE HUMAINE ».


QUI ESTMAMAN CHRISTINE BAHATI

Originaire de la province de Maniema, Christine Bahati Munyangui fut née le 27 décembre 1948. Elle embrassa légalement la vie conjugale à l’âge de 15 ans avec Monsieur Edouard Bulabula Wangakyumu, originaire de KAMITUGA, à l’Est de la République Démocratique du Congo.

 

 Mère de six enfants, sa famille passa une bonnee partie de leur vie à l’étranger, à partir de 1978, car son mari, Edouard Bulabula, fut Representant de la Compagnie aérienne, Air Zaïre dans plusieurs pays africains. Malgré le point social de cette vie d’épouse de haut fonctionnaire de l’Etat à l’étranger, Madame Christine Bahati arriva à réaliser avec brio son rêve de faire bénéficier à ses enfants une bonne éducation dans les meilleures écoles française des pays africains où la famille vécut

 ( Ouganda, Tanzanie, Kenya, Guinée et Gabon).

 

QUI ESTMAMAN CHRISTINE BAHATI

Originaire de la province de Maniema, Christine Bahati Munyangui fut née le 27 décembre 1948. Elle embrassa légalement la vie conjugale à l’âge de 15 ans avec Monsieur Edouard Bulabula Wangakyumu, originaire de KAMITUGA, à l’Est de la République Démocratique du Congo.

 

 Mère de six enfants, sa famille passa une bonnee partie de leur vie à l’étranger, à partir de 1978, car son mari, Edouard Bulabula, fut Representant de la Compagnie aérienne, Air Zaïre dans plusieurs pays africains. Malgré le point social de cette vie d’épouse de haut fonctionnaire de l’Etat à l’étranger, Madame Christine Bahati arriva à réaliser avec brio son rêve de faire bénéficier à ses enfants une bonne éducation dans les meilleures écoles française des pays africains où la famille vécut( Ouganda, Tanzanie, Kenya, Guinée et Gabon). 

SES RÉALISATIONS EN RÉPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

Madame Christine BAHATI n’eut pas l’opportunité d’effectuer des études universitaires, mais elle eut un flair aiguisé d’opportunités d’affaires, ce qui lui permit plus tard de réaliser un travail titanesque, digne des bâtisseurs des cathédrales au Moyen-Âge.

 

En effet, elle fit sortir d’un terrain marécageux, un imposant port privé, après avoir fait reculer, de plus d’un kilomètre, une large partie de la rive du fleuve Congo, au niveau de la zone industrielle de Kingabwa, en plein capitale, à Kinshasa. D’autre part, elle construisit une résidence hôtelière en plein centre-ville de la capitale congolaise, dénommée « Résidence Sofia, » du nom de sa défunte maman.

SES RÉALISATIONS EN RÉPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

Madame Christine BAHATI n’eut pas l’opportunité d’effectuer des études universitaires, mais elle eut un flair aiguisé d’opportunités d’affaires, ce qui lui permit plus tard de réaliser un travail titanesque, digne des bâtisseurs des cathédrales au Moyen-Âge.

 

En effet, elle fit sortir d’un terrain marécageux, un imposant port privé, après avoir fait reculer, de plus d’un kilomètre, une large partie de la rive du fleuve Congo, au niveau de la zone industrielle de Kingabwa, en plein capitale, à Kinshasa. D’autre part, elle construisit une résidence hôtelière en plein centre-ville de la capitale congolaise, dénommée « Résidence Sofia, » du nom de sa défunte maman.